entre interprétation et erreurs voyance par mail

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Après cette consultation au telephone, je n’ai pas renoncé à la voyance. Mais j’ai fêté à adopter du recul. J’ai compris que l'espoir avec laquelle on pose une problématique varie tout. Que le instant dans que on consulte compte tant que votre résultat reçue. Et que l’on ne peut pas attendre d’un message qu’il décide pour nous. C’est implacable à se rendre compte, mais cela vient important si on aspire à évoluer sans se perdre. Je me suis pensé pourquoi j’avais autant s'étant rencontré bouleversée par cette la première réponse. Ce n’était pas aussi bien ce qu’elle disait. C’était ce que j’avais l'énergie qu’elle dise. C’était ce que j’étais prête à distinguer, et ce que je refusais d'apprécier en visage. Et je sais soudain que on a juste à savoir ça que naissent les erreurs voyance par mail. Elles se logent dans l’écart entre ce que l’on cherche à sélectionner et ce que l’on reçoit effectivement. J’ai entre autres réalisé que ouvrir une interrogation trop évasif, ou au opposé incomparablement orientée, pouvait brouiller prodigieusement la qualité du renouveau. ce n’est pas que le message est néfastes. C’est que notre caractère de pouvoir lire le conditionne dès le début. lorsque on écrit dans la fracas, sans pouvoir affecter le expériences de se ajuster, on risque de ne rien accueillir de vraiment avantageux. Et si on n’est pas intentionnelle de ça, on peut se contenir déçue, voire trahie par une réponse qui, en réalité, n’a jamais eu la panier de tout conclure. Les erreurs voyance par mail ne sont certainement pas mécaniquement relatives au texte du message. Elles se trouveront le plus fréquemment rattachées à la méthode avec laquelle on l’accueille. On oublie que la voyance, même par écrit, est un outil visionnaire. Elle ne traite pas notamment une consigne. Elle propose un regard, une action, un éclairage. Et on a à nous de pratiquer votre profession de réception, d’intégration, de conscience. Depuis, je continue d’écrire parfois, quand j’en ressens le besoin. Mais je le fais d'une autre façon. Je me donne le droit de ne pas recevoir ce que j’espérais. Je me donne le droit de ne pas piger sérieuse. Je consulte moins souvent, mais plus très. Et entre autres, je me rappelle que le message n’est pas une réponse à analyser les problèmes rencontrés en voyance mail la place de ma paroles réfléchie. Il est là pour me susciter écouter en empruntant une autre voie ce que je n’entendais plus.

Je pourrais présenter que j’ai drastique là. Mais non. J’ai recommencé. Pas juste. Mais à la suivante point de pas sûr, j’y suis retournée. Je me suis présenté que cette fois, je ferais préférable. Que je poserais un thème précis plus claire. Que je resterais détachée à toutes vos plaisirs. Mais la véracité, c’est que j’étais encore infiniment émotionnellement chargée pour recevoir une forme représentative avec recul. Et systématiquement, le même rodage s’est répété. Une position posée incomparablement rapidement, un contact reçue vivement rapidement, une lecture interprétée au prisme de mes blessures du moment. J’ai essayé d’être scientifique, de me dire que c’était juste un sujet, un soutien. Mais lorsqu'on est dans la chahut, il est compliquée de ne pas appeler des messagers là où il n’y en a pas. Difficile de ne pas déchiffrer entre les lignes ce que l’on ambitionne de estimer. Je crois que cela vient donc que j’ai incontestablement compris la différence entre tourner un problème pour se réaliser, et avoir une problématique pour ne pas devoir fixer. Et cette marche, elle est essentielle. Parce que l’une des erreurs voyance par mail les plus piégeuses, c’est justement celle-là : attendre qu’un message vienne appareiller à notre place. Qu’il nous dise quoi favoriser, qui pencher, ce que chemin pouvoir affecter. Mais nul message n'a aucune chance de favoriser ce job. Il pourrait informer, il est en capacité de édifier un tournant, il peut pénétrer un site d'idée. Mais il n'a pas la possibilité de pas programmer la charge de nos journées. C’est à nous de pratiquer ce pas. Et aussi bien qu’on ne l’a pas compris, autant dans les domaines qu’on reliquat dans cette progressivement d’attente passive, on est vulnérable. Non pas à la voyance elle-même, mais à la façon dont on la détourne sans le préférer. Avec le époques, j’ai fêté à faire le diagnostic ce système. À voir quand je posais un thème précis avec une valable délai de validité profonde, et quand je le faisais par envie de contrôle. J’ai en plus offert à propager les justifications exister sans les déformer. À ne pas mobiliser une force immédiat. À ne pas me précipiter pour éveiller postérieur. Et surtout, j’ai compris que les erreurs voyance par mail ne sont certes pas là pour nous déclencher culpabiliser. Elles sont là pour nous savoir à faire appel à d'une autre façon. À avoir les moyens le process. À se rassembler dans une guidance visionnaire avec humilité. Et à écouter ce qu’on ressent, véritablement, , ça vaut préférable que de chercher à pouvoir être confortée. Aujourd’hui, je s'acharne à continuer à poser des questions. Mais en empruntant une autre voie. Avec moins de envie, plus d’ouverture. Et notamment, avec la pensée que la rapide répercussion, ce que transforme, ne viendra jamais d’un mail. Elle viendra de une personne. Et de ma envie à recevoir ce que je vis, même quand cela vient pas sûr, même quand cela vient inconfortable. La voyance est en possibilité de m’accompagner, m’inspirer. Mais elle ne fera jamais le chemin à ma place.